Entre deux rendez-vous, je profite de mon temps libre pour écrire. Aujourd'hui, j'aimerais vous parler d'un débat qui anime souvent nos  dîners en famille : jeux vidéo ou jeux traditionnels, lequel choisir pour Mathéo ?

Bon, commençons par le constat évident : les jeux vidéo ont le vent en poupe. Ils offrent une immersion fantastique dans des mondes imaginaires. On peut voyager dans l'espace, revivre des moments historiques ou s'amuser dans un monde futuriste. Mathéo adore ça, et d’un côté je comprends pourquoi… Ces jeux développent la coordination, la logique et parfois même l’apprentissage de l'anglais (merci à mes cours de langues étrangères à l'Université qui me permettre de comprendre certaines subtilités !).

Mais voilà, mes souvenirs d'enfance à Nantes reviennent en force quand je pense aux jeux en bois. Ah, la simplicité des jeux de notre enfance ! Sans conteste, ils favorisent la créativité, la patience, et surtout, le jeu en groupe. Jouer aux dominos, à la marelle ou encore à la tour infernale, c’est s'assurer de moments de rires et de convivialité.

Pourquoi opposer technologie et tradition ? Je suis convaincue que la clé réside dans l'équilibre : la vie est faite de choix. Et si ce soir, après une journée de travail, je défie François et Mathéo à une partie d’échecs en bois avant de les laisser m'initier à leur dernier jeu vidéo ? Qu'en pensez-vous ?  

Face à une assiette alléchante et garnie de divers mets, le choix peut parfois devenir cornélien. Entre les aliments que j'affectionne et ceux pour lesquels je n'ai pas vraiment de penchant, une question récurrente se pose à moi : par où commencer ?

D'un côté, il y a ces mets que j'adore, ceux qui font pétiller mes yeux et chatouiller mes papilles rien qu'à l'idée de les déguster. Les manger en premier, c'est m'assurer un instant de pur plaisir, un moment où je me perds dans une danse culinaire envoûtante. L'idée de débuter mon repas par ce que j'aime le plus est séduisante, car elle annonce d'emblée une expérience gastronomique enivrante.

De l'autre côté, il y a ces aliments moins prisés, que je pourrais qualifier de "nécessaires". Les intégrer dans mon repas, c'est m'assurer une alimentation équilibrée, même si cela ne chatouille pas forcément mes papilles. En les mangeant en premier, je m'assure de les avoir "éliminés", me laissant ainsi la possibilité de terminer mon repas sur une note agréable et satisfaisante. C'est comme garder le meilleur pour la fin, assurant une fin d'expérience mémorable.

Et puis, il y a cette dimension psychologique de la récompense. Si je commence par ce que je n'aime pas, alors je sais qu'une belle récompense m'attend à la fin, une sorte de douce caresse pour mes papilles. Mais, en commençant par ce que j'aime, est-ce que je ne m'offre pas une motivation supplémentaire pour finir mon assiette, même si elle contient des éléments moins appréciés ?

Au bout du compte, cette hésitation peut sembler futile, mais elle révèle en réalité une dimension plus profonde de notre rapport à la nourriture. Les choix que nous faisons, les rituels que nous adoptons, sont autant de reflets de notre personnalité et de notre relation avec le plaisir et la discipline.

Et vous, par où commencez-vous ? Êtes-vous du genre à plonger d'abord dans ce que vous aimez, ou préférez-vous garder le meilleur pour la fin ? Peut-être, comme moi, changez-vous d'avis à chaque repas, laissant l'humeur du moment guider votre fourchette.

Il est l'heure de la pause, et je suis confrontée à un dilemme récurrent : le thé ou le café ? Comme je travaille depuis chez moi, je n'ai pas à me contenter des boissons proposées par la machine à café du bureau. Mais cette liberté de choix me plonge souvent dans une profonde réflexion.

D'un côté, le café, cette boisson chaude et réconfortante qui me réveille le matin et me donne un coup de fouet en plein milieu de l'après-midi. Je dois avouer que je suis assez fan de l'odeur du café fraîchement moulu et de la mousse onctueuse du cappuccino. Et puis, il y a cette ambiance si particulière des cafés parisiens, où l'on se retrouve entre amis pour discuter autour d'un expresso.

De l'autre côté, le thé, cette boisson millénaire aux mille saveurs, qui m'accompagne tout au long de la journée. Je me plais à choisir mon thé en fonction de mon humeur et de l'heure qu'il est : un thé vert parfumé le matin, un thé noir corsé l'après-midi, et un rooibos sans théine en soirée. Le thé est également synonyme de détente et de convivialité, comme ces tea times anglais où l'on se retrouve pour déguster des scones et des sandwiches en sirotant un délicieux Earl Grey.

Alors, comment choisir entre ces deux boissons ? Chacune a ses avantages et ses inconvénients. Le café me donne de l'énergie, mais sa teneur en caféine peut parfois me rendre nerveuse. Le thé est plus doux pour mon organisme, mais ses vertus énergisantes sont moins marquées. Et puis, il y a cette question du rituel : suis-je plutôt machine à expresso ou bouilloire électrique ?

Au final, je crois que je ne choisirai jamais vraiment entre le thé et le café. Ces deux boissons font partie de mon quotidien et rythment mes journées. Peut-être que ce n'est pas tant une question de choix, mais plutôt de s'accorder des moments de plaisir et de partage autour d'une tasse fumante.

Et vous, quelle est votre boisson préférée ? Êtes-vous plutôt café ou thé, ou bien comme moi, indécis jusqu'au bout ?

Avez-vous déjà lu un livre dont l'univers était très difficile à croire ou déroutant ? C'était peut-être de la science-fiction ou de la fantasy et la technologie ou la magie était tellement exagérée que cela ne semblait pas réel.

J'ai un problème similaire quand j'essaye moi-même de me mettre à la planche. J'aime la science-fiction et la fantasy, mais plus j'en apprends sur la façon dont ces choses sont créées, moins j'ai confiance en mes propres capacités à créer quelque chose de crédible.

Cela fait des années que j'essaie d'écrire des histoires, mais à chaque fois que je commence à écrire quelque chose de nouveau, je reste bloqué sur l'aspect de la construction du monde. Comment créer un monde entièrement nouveau sans qu'il paraisse faux ou incroyable ?

Par exemple, si je veux essayer d'écrire un récit qui se déroule dans l'espace, avec des extraterrestres et toutes sortes de choses folles.. à chaque fois que j'essaie de mettre un stylo sur le papier (ou les doigts sur le clavier), toutes mes idées finissent par ressembler à un mélange de Star Wars, Star Trek et Stargate... en moins crédible...

vous voyez le genre !

Il semble que créer un univers entier à partir de rien soit déjà assez difficile, sans avoir à se soucier de créer des personnages crédibles ! Et si votre lecteur ne croit pas en vos personnages parce qu'il ne croit pas en votre univers ? C'est comme avoir deux forces opposées qui se battent l'une contre l'autre.

La musique est la bande-son du film de nos vies.

Elle peut nous rappeler des souvenirs ou en créer de nouveaux. Elle peut nous rendre heureux ou tristes, excités ou nostalgiques. La musique a le pouvoir de nous transporter dans un autre lieu et une autre époque.

Nous avons tous des chansons qui nous rappellent d’anciennes rencontres, des amis qui ne sont plus là, ou même notre premier baiser. Lorsque j'entends certaines chansons, cela me ramène aux premières soirées du lycée, à ma première sortie en ville, à mon premier rendez-vous galant, mais aussi parfois à de mauvais souvenirs comme mon premier accident de voiture. Bons ou mauvais, tous ces souvenirs font partie de moi.

La musique a la capacité de faire ressentir aux gens des émotions qu'ils n'ont peut-être jamais ressenties auparavant. C'est pourquoi il est si important pour les musiciens d'écrire sur des expériences et des sentiments réels dans leur musique. Un bon auteur-compositeur sait comment écrire sur des situations de la vie réelle d'une manière qui résonne avec son audience.

Les bons mots prononcés au bon moment peuvent changer la vie de quelqu'un à jamais.